Le regard de l'ancien Rouche Aloys Nong sur le Standard actuel : "Heureusement qu'il y a ça"
Photo: © photonews
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Avant le match de ce vendredi entre Malines et le Standard, Aloys Nong, ancien attaquant passé par les deux équipes, s'est exprimé sur son passage chez les Rouches et sur l'équipe actuelle.
Aloys Nong revient sur sa signature au Standard en provenance de Malines : "Ni Mbaye Leye ni Meme Tchite ne savaient que je venais également ! Personne ne savait. Mon contrat a été signé le dernier jour. J’ai appris par le journal La Meuse que Tchite et Leye débarquaient en même temps que moi. Aujourd’hui encore, je me demande, sachant cela : me serais-je engagé ? Sans doute. Car je ne jurais que par le Standard."
Il n'a aucun regret, signer dans un club comme le Standard était pour lui un rêve : "Au Cameroun, lorsque j’étais gamin, on parlait des grands clubs européens. Marseille, Paris. Mais aussi Anderlecht et le Standard."
"Lors de mon passage à Liège, désolé pour les supporters des Sang et Marine (ndlr, il a joué au RFC Liège en 2002), que je respecte énormément, quand nous papotions dans le vestiaire, Sclessin nous fascinait. C’est là que je voulais arriver," raconte-t-il au micro de Sudinfo. Près de huit ans après son départ du RFC Liège, il a rejoint les Rouches (2010-2012).
Sa première saison en bord de Meuse fut particulière : "L’attaquant numéro 1, c’est Meme. Il a déjà connu une bonne période avec le Standard. Son retour l’impose comme titulaire. Après, qui va jouer à ses côtés ? Mbaye Leye ? Luigi Pieroni ? Moi ? Il fallait accepter les choix de l’entraîneur. Les rouages se mettaient difficilement en place. Rappelez-vous, ce n’est qu’à l’issue de la dernière journée que nous nous qualifions pour les Playoffs 1."
Le Standard en 2025 vu par Aloys Nong
Il a ensuite porté son regard sur le Standard actuel : "L’analyse ne peut pas faire fi du fait que le club a des problèmes financiers. Heureusement, à l’Académie, il y a des éléments qui possèdent un gros potentiel. Je pense à Bradley, à Mitongo, à Kielo. Je les connais pour les avoir entraînés."
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