Une Assemblée générale de tous les dangers ? La réunion attendue de tous pour l'avenir du championnat

Une Assemblée générale de tous les dangers ? La réunion attendue de tous pour l'avenir du championnat

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Sur le coup de 14h, tous les clubs professionnels se réunissent pour une assemblée générale de la Pro League. C'est la première réunion depuis que plusieurs clubs de premier plan ont officiellement insisté pour un débat sur la réforme prévue du championnat. Voici ce qui est à l'ordre du jour.

La réforme prévoit dix-huit équipes dans la première division, la suppression des Playoffs et une place assurée pour quatre équipes espoirs en deuxième division. Ces propositions ont précédemment obtenu une fragile majorité des deux tiers. L'équilibre reste précaire. Le propriétaire de La Gantoise, Sam Baro, a réuni le mois dernier le G8 pour discuter de ce changement de format.

Peu de temps après, une lettre commune de Baro, du CEO d'Anderlecht Kenneth Bornauw, du CEO de l'Union Philippe Bormans et du CEO du Standard Pierre François a suivi. Ils ont formellement demandé la suspension de la réforme.

Bien que cette réforme ne soit pas un point officiel à l'ordre du jour à l'assemblée générale de la Pro League d'aujourd'hui, le sujet sera inévitablement abordé. La Pro League est en discussion depuis des mois avec l'Autorité belge de la concurrence. C'est en particulier l'intégration des équipes espoirs des grands clubs qui est considérée comme problématique.

Une assemblée générale explosive

Lokeren-Temse, Seraing et les Francs Borains font part de leur mécontement depuis l'été dernier. Le scénario redouté par beaucoup était sur la table : une modification en cours de saison provoquerait le chaos.

La saison en est désormais à mi-parcours, ce qui rend les ajustements peu probables. Pourtant, il existe un précédent : lors de la saison 2019-2020, la pandémie de coronavirus avait poussé la Pro League à arrêter le championnat après 29 journées, sans relégation, et avec deux promus.

Outre la réforme, le dossier des droits de diffusion est également sur la table. DAZN a rompu le contrat et refuse de payer. Le 22 décembre, une audience aura lieu devant le tribunal arbitral CEPANI. Avant la fin de l'année, cet organisme peut imposer des mesures provisoires, y compris une obligation pour DAZN d'assurer les paiements et les diffusions.

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