Eupen perd à St-Trond contre le... Beerschot!
Photo: © SC
L'AFC Eupen s'est incliné 0-1 face au Germinal Beerschot. Au pays de la pomme, le ver était toujours dans le fruit.
Pour cause de travaux au Kehrweg, l'AS Eupen recevait le Beerschot à St-Trond dans un stade aux tribunes désespérément vides. Et les joueurs d'Eziolino Capuano ont connu une nouvelle défaite après le point de l'espoir décroché la semaine passée à Waregem. Si Eupen a paru prendre le dessus en début de partie avec deux belles occasions de but signées Vandenbergh et Obradovic, le feu de paille fut cependant rapidement éteint par l'apathie des joueurs des deux camps. Car hormis les gesticulations et les cris du coach italien en bord de touche, les supporters des deux camps pouvaient passer une soirée plutôt tranquille dans la quiétude ouatée d'un Staaien qui n'avait vraiment rien d'un enfer.
On se dirigeait ainsi vers un nul blanc au repos quand à la fin de la première mi-temps, Faris Haroun surgit pour effacer un défenseur et ajuster un tir qui frôla le piquet du but défendu par Petr.
La seconde mi-temps se traina en longueur. Les vingt-deux acteurs se contentant d'un footing derrière un ballon paresseux. Tout profit évidemment aux Anversois qui s'accomodaient parfaitement de cette promenade de santé. Excepté un penalty que monsieur Loeman oublia de siffler pour une faute flagrante de Monteyne sur Obradovic, les Eupenois ne parvinrent guère à se créer des occasions de but véritables.
En toute fin de match, les esprits s'échauffèrent de part et d'autre lorsque Adnan Custovic y alla d'un tackle qui aurait mérité un carton rouge exposant deux. Mais l'arbitre ne sortit qu'un carton jaune. Le Brésilien Marcus Diniz décida alors de se faire justice lui-même en décochant un coup de pied aussi violent qu'imbécile à Faris Haroun.
La symphonie du silence qui avait résonné toute la soirée au Staaien se terminait ainsi sur une fameuse fausse note.
On se dirigeait ainsi vers un nul blanc au repos quand à la fin de la première mi-temps, Faris Haroun surgit pour effacer un défenseur et ajuster un tir qui frôla le piquet du but défendu par Petr.
La seconde mi-temps se traina en longueur. Les vingt-deux acteurs se contentant d'un footing derrière un ballon paresseux. Tout profit évidemment aux Anversois qui s'accomodaient parfaitement de cette promenade de santé. Excepté un penalty que monsieur Loeman oublia de siffler pour une faute flagrante de Monteyne sur Obradovic, les Eupenois ne parvinrent guère à se créer des occasions de but véritables.
En toute fin de match, les esprits s'échauffèrent de part et d'autre lorsque Adnan Custovic y alla d'un tackle qui aurait mérité un carton rouge exposant deux. Mais l'arbitre ne sortit qu'un carton jaune. Le Brésilien Marcus Diniz décida alors de se faire justice lui-même en décochant un coup de pied aussi violent qu'imbécile à Faris Haroun.
La symphonie du silence qui avait résonné toute la soirée au Staaien se terminait ainsi sur une fameuse fausse note.
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