Le billet de Dupk : Abbas Bayat à bout!
Photo: © SC
Dix minutes de silence, une banderole hostile, un supporter qui s'introduit dans la tribune d'honneur, pour Abbas Bayat, la coupe était pleine. Au lieu de la boire jusqu'à la lie, il a explosé.
Abbas Bayat, le président du Sporting de Charleroi a ses méthodes. Un port parfois hautain. Un mépris certain pour l'humain. Une religion de l'économie. Une froideur comptable plongée comme un glaçon dans son sang bouillonnant. Car l'homme a l'hémoglobine on the rocks!
Samedi soir, dans l'un des plus beaux stades de Belgique, mais triste comme la plus belle des Miss Univers cocufiée et qui se mettrait à chialer toutes les larmes de son corps splendide, le Sporting de Charleroi a vécu une des soirées les plus sombres de son histoire. Une soirée résumée en deux trois heures où les désespoirs se sont exprimé sans retenue.
Banderock'n'roll fustigeant les Bayat. Dix minutes de silence distillées comme une injection léthale à la direction du club carolo. Et l'animateur des Ultras qui s'immisce dans la tribune d'honneur du stade du Pays de Charleroi.
Le sang d'Abbas Bayat n'a fait qu'un tour comme un Schumacher à Francorchamps. Et il s'est levé pour aller dire son fait de façon musclée à l'homme qu'il jugeait importun. Et scène incroyable et sans doute jamais vue dans un stade de Division 1 européenne, le service de sécurité a dû intervenir pour ... calmer le président du club.
Abbas Bayat est le roi de la calculette. Mais pas le président d'un club de football.
Samedi soir, dans l'un des plus beaux stades de Belgique, mais triste comme la plus belle des Miss Univers cocufiée et qui se mettrait à chialer toutes les larmes de son corps splendide, le Sporting de Charleroi a vécu une des soirées les plus sombres de son histoire. Une soirée résumée en deux trois heures où les désespoirs se sont exprimé sans retenue.
Banderock'n'roll fustigeant les Bayat. Dix minutes de silence distillées comme une injection léthale à la direction du club carolo. Et l'animateur des Ultras qui s'immisce dans la tribune d'honneur du stade du Pays de Charleroi.
Le sang d'Abbas Bayat n'a fait qu'un tour comme un Schumacher à Francorchamps. Et il s'est levé pour aller dire son fait de façon musclée à l'homme qu'il jugeait importun. Et scène incroyable et sans doute jamais vue dans un stade de Division 1 européenne, le service de sécurité a dû intervenir pour ... calmer le président du club.
Abbas Bayat est le roi de la calculette. Mais pas le président d'un club de football.
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