Le président de Genk évoque les torts de chacun dans l'affaire Pozuelo

Le président de Genk évoque les torts de chacun dans l'affaire Pozuelo

Une chose est sûre : il y aura un avant et un après le "cas Pozuelo" à Genk. Le président du Racing, Peter Croonen, a évoqué les torts de chacun.

"Le Toronto FC est arrivé dans les discussions entre le moment où nous avions discuté de la fameuse clause libératoire avec Pozuelo et le moment où il a apposé sa signature au bas du contrat", explique Peter Croonen dans Het Laatste Nieuws au moment d'évoquer le départ de son meneur de jeu pour le Canada. 

"Les discussions juridiques ont alors débuté. Au sujet de l'accord par mail avec les agents de Pozuelo, de l'accord oral avec Pozuelo lui-même, de l'interprétation de la clause. Je crois que nous avions un dossier solide, mais il n'existe pas de certitudes dans ce genre de cas", regrette le président du KRC Genk

Nous aurions pu aller en justice, mais aurions-nous gagné ? - Croonen

Peter Croonen a avant tout un problème avec le comportement des agents. "Je ne comprends pas que ceux qui gèrent la carrière de Pozuelo n'aient pas considéré que l'offre de Toronto n'était pas valable au vu de la clause. Ils savaient que nos échanges de mails pourraient signifier la même chose qu'une signature aux yeux de la FIFA. Ils auraient dû le dire au joueur". 

Et donc éviter une situation qui plaçait le joueur lui-même en conflit avec son club. "Tout ce que j'ai appris de cette histoire, c'est que les clauses ne valaient que lors de nos mercatos européens. C'est une erreur de la part du club, que nous devrons retenir. Mais cela signifie également que tous ces mercatos devraient un peu mieux s'organiser les uns par rapport aux autres". 

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