Collin soutient Charleroi! Hendrickx démissionne!
Photo: © SC
L'affaire des petits arrangements à l'Union belge continue de faire des vagues. Si Philippe Collin, par ailleurs administrateur d'Anderlecht, soutient le Sporting Carolo, Pierre-Yves Hendrickx a démissionné de son poste à l'Union Belge.
Les récentes péripéties qui ont secoué ces derniers jours le petit monde du football belge n'ont pas terminé de faire parler d'elles. Philippe Collin, administrateur du Sporting d'Anderlecht, mais aussi président de la commission technique de l'Union Belge, vient d'essuyer quelques critiques pour son rôle dans l'affaire. Il aurait poussé le président De Keersmaecker a accepté les demandes du Sporting de Charleroi. Aussi, il a décidé de réagir. Le journal Het Nieuwsblad a recueilli ses propos.
"Tout le monde parle d'un chantage de la part du Sporting de Charleroi. Ce n'est pas ma vison des choses. C'était le bon droit du Sporting de Charleroi de poser des conditions en échange d'une solution. A partir du moment où le Comité Exécutif les acceptait, il avait mon soutien" se défend aujourd'hui Collin que beaucoup présentent aujourd'hui comme l'éminence grise du football belge avec son réseau de relations tous azimuths.
Et Collin de poursuivre : " Ne pouvait-on savoir à l'avance que nous allions mettre le président De Keersmaecker dans de sales draps? Mais il fallait absolument faire quelque chose. On n'avait pas le choix".
Avant de conclure : "Trois jours plus tard, le Comité Exécutif est revenu sur ses concessions au Sporting de Charleroi. François De Keersmaecker a été confirmé à l'unanimité dans ses fonctions. Je soutiens moi aussi cette décision. Charleroi se tourne à présent vers la justice, c'est son bon droit. Un procès était de toute façon inéluctable. Ou c'était Charleroi ou c'était Zulte ou c'était le Cercle qui déposait plainte. Nous sommes donc confrontés à un nouveau problème. Mais nous chercherons à nouveau des solutions".
Par ailleurs, Pierre-Yves Hendrickx, secrétaire du RSC Charleroi, mais aussi président de la Commission du calendrier, vient de démissionner de son poste qu'il occupait depuis huit ans à l'Union Belge. Il n'aurait plus confiance en la fédération belge de football.
"Tout le monde parle d'un chantage de la part du Sporting de Charleroi. Ce n'est pas ma vison des choses. C'était le bon droit du Sporting de Charleroi de poser des conditions en échange d'une solution. A partir du moment où le Comité Exécutif les acceptait, il avait mon soutien" se défend aujourd'hui Collin que beaucoup présentent aujourd'hui comme l'éminence grise du football belge avec son réseau de relations tous azimuths.
Et Collin de poursuivre : " Ne pouvait-on savoir à l'avance que nous allions mettre le président De Keersmaecker dans de sales draps? Mais il fallait absolument faire quelque chose. On n'avait pas le choix".
Avant de conclure : "Trois jours plus tard, le Comité Exécutif est revenu sur ses concessions au Sporting de Charleroi. François De Keersmaecker a été confirmé à l'unanimité dans ses fonctions. Je soutiens moi aussi cette décision. Charleroi se tourne à présent vers la justice, c'est son bon droit. Un procès était de toute façon inéluctable. Ou c'était Charleroi ou c'était Zulte ou c'était le Cercle qui déposait plainte. Nous sommes donc confrontés à un nouveau problème. Mais nous chercherons à nouveau des solutions".
Par ailleurs, Pierre-Yves Hendrickx, secrétaire du RSC Charleroi, mais aussi président de la Commission du calendrier, vient de démissionner de son poste qu'il occupait depuis huit ans à l'Union Belge. Il n'aurait plus confiance en la fédération belge de football.
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