Le merchandising du Real chute de 20% avec Mourinho
Photo: © SC
José Mourinho est dans doute un excellent coach. Son CV parle pour lui. Par contre, depuis son arrivée au Real, la vente des maillots et autres produits dérivés du Real a chuté de 20%
Le pari de Florentino Perez, le président du Real de Madrid, a toujours été de faire rêver le socio madrilène. Il dépense des sommes folles pour acquérir des joueurs galacticos et il amortit rapidement son investissement grâce au merchandising. La formule marchait du tonnerre, même quand les Merengues étaient à la ramasse.
Aujourd'hui, avec l'arrivée de José Mourinho, le club semble avoir repris du poil de la bête. Mais le merchandising chute. Une étude a été commandée par un sponsor, à l'insu de Florentino Perez, pour tenter de trouver l'explication du paradoxe. Et le site espagnol donbalon.com en publie quelques conclusions.
Mourinho occuperait ainsi trop de place au détriment des stars. Le Real désormais, c'est lui. Or, le socio, ce qui l'intéresse, c'est de pouvoir acheter le maillot de Cristiano Ronaldo, pas la cravate du costard impeccable de Mourinho. En décidant de dispenser dorénavant ses entrainements à huis clos, en limitant les contacts de ses joueurs avec la presse, Mou crée une distance avec le supporter qui plombe résolument les ventes.
L'étude révèle aussi que les supporters sont indisposés par l'arrogance de Mou. Plus grave, des sponsors qui font partie de la garde rapprochée de Perez trouvent au coach portugais des airs de parvenu, de frimeur, de "chuleta" qui ne cadrent pas du tout avec sa fonction à la tête d'un club qui se veut "respectable".
Aujourd'hui, avec l'arrivée de José Mourinho, le club semble avoir repris du poil de la bête. Mais le merchandising chute. Une étude a été commandée par un sponsor, à l'insu de Florentino Perez, pour tenter de trouver l'explication du paradoxe. Et le site espagnol donbalon.com en publie quelques conclusions.
Mourinho occuperait ainsi trop de place au détriment des stars. Le Real désormais, c'est lui. Or, le socio, ce qui l'intéresse, c'est de pouvoir acheter le maillot de Cristiano Ronaldo, pas la cravate du costard impeccable de Mourinho. En décidant de dispenser dorénavant ses entrainements à huis clos, en limitant les contacts de ses joueurs avec la presse, Mou crée une distance avec le supporter qui plombe résolument les ventes.
L'étude révèle aussi que les supporters sont indisposés par l'arrogance de Mou. Plus grave, des sponsors qui font partie de la garde rapprochée de Perez trouvent au coach portugais des airs de parvenu, de frimeur, de "chuleta" qui ne cadrent pas du tout avec sa fonction à la tête d'un club qui se veut "respectable".
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