Alexander Scholz : "Liège a eu un plus gros impact sur moi que je l'aurais imaginé au début"

Alexandre Fiammetti
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Alexander Scholz : "Liège a eu un plus gros impact sur moi que je l'aurais imaginé au début"

Le défenseur central de 26 ans est arrivé en 2012 en Belgique en signant à Lokeren et a quitté notre royaume l'été dernier pour rentrer au pays après un passage compliqué au Club de Bruges.

Alexander Scholz a été titulaire indiscutable au Standard pendant près de deux ans et demi. Le Danois, lors d'un entretien avec nos confrères de la DH, s'est confié à propos du club qui a compté beaucoup pour lui. 

"Liège a eu un plus gros impact sur moi que je l’aurais imaginé au début", a déclaré  Alexander Scholz. "C’est un endroit spécial, avec une mentalité que j’apprécie, une grande ouverture d’esprit et une combinaison entre beauté et laideur. Je continuerai à visiter cette ville après ma carrière, c’est une certitude", a précisé le Danois.

"J’ai aimé les émotions vécues durant mon passage à Sclessin, j’y ai donné tout ce que j’avais dans le ventre. C’était également très compliqué car il se passait toujours quelque chose dans ce club. J’y ai connu sept entraîneurs, deux présidents et je ne saurais même pas vous dire combien de nouveaux joueurs. Le tout en seulement… trois ans ! Finalement, c’est à cause d’un entraîneur (NdlR : Ricardo Sa Pinto) que j’ai perdu ma place, au cours d’une période où je n’étais plus aussi performant qu’auparavant. Ce fut pour moi une période mouvementée mais je ne me suis jamais plaint dans la presse et je n’ai rien fait qui aurait pu porter préjudice au club", a ajouté le défenseur de 26 ans.

L'ancien joueur de Lokeren a perdu sa place et est finalement parti à Bruges où il n'a pratiquement pas joué. "Je l’avais senti venir durant l’été, bien avant que je ne perde ma place dans l’équipe. Mais penser à ce qui aurait pu arriver si j’avais fait ceci ou cela, ce n’est pas dans mon tempérament. Cela appartient désormais au passé. J’ai toujours eu une bonne relation avec le président, les gens qui travaillent pour le Standard et mes équipiers mais, à partir du moment où je ne recevais plus ma chance - je n’ai pas reçu une chance en Coupe de Belgique -, je devais prendre une décision. Je devais partir", a conclu Alexander Scholz.

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