Les Zèbres, entre "concentration" et "excitation": "On a hâte d'y être"

Les Zèbres, entre "concentration" et "excitation": "On a hâte d'y être"
Photo: © photonews

Dans un peu plus de 24 heures que le Sporting de Charleroi aura l'occasion d'écrire une belle page de son histoire. Les Zèbres en ont conscience, ils attendent ce barrage d'Europa League, mais ils abordent aussi ce rendez-vous avec calme et sérénité.

Contre le Lech Poznan, et cinq ans après avoir échoué aux portes des barrages, le Sporting de Charleroi peut s’offrir, pour la première fois de son histoire, une place en phase de poules de l’Europa League. L'envie est donc grande dans les rangs carolos: "Il y a évidemment beaucoup d’excitation dans le groupe, mais aussi beaucoup de concentration", insiste Nicolas Penneteau.

"Conscience et insouciance"

La perspective d’écrire un nouveau bout de l’histoire de leur club est d’ailleurs une belle source de motivation pour les Zèbres. "On ne se focalise pas trop sur ça, mais c’est clair que ça nous booste."

Parce que les Zèbres ne veulent pas s’ajouter trop de pression sur les épaules. "Le club grandit et ce match est peut-être une étape importante, mais il ne faut pas se mettre plus de pression que ça. Il y en a assez autour du match. On sait que si on peut mettre le club en lumière à travers l’Europe, ça peut être une belle vitrine pour tout le monde: les joueurs et le club."  

Karim Belhocine a d'ailleurs entière confiance en son groupe pour aborder ce nouveau rendez-vous avec une certaine sérénité. "On a un groupe conscient, mais aussi un peu insouciant. Les joueurs aimeraient beaucoup écrire l’histoire demain. Et demain on fera tout ce qu’il faut pour. Ça demandera beaucoup d’efforts. Mais on va pousser pour", avance le coach carolo.  

L'absence des supporters, le seul regret que l'on peut avoir. 

Il faudra en revanche, aller chercher cette qualification sans le soutien des supporters. "C’est le seul regret que l’on peut avoir", estime Nicolas Penneteau. "On aurait aimé pour ces deux matchs de qualifications, à domicile, pouvoir entendre les chants de nos supporters pour nous pousser."

"Mais il faudra regoûter à l’Europe pour que ça soit le cas. C’est une mission supplémentaire qui trottera dans nos têtes au moment du premier coup de sifflet", conclut Nicolas Penneteau, déterminé à aller chercher ces poules de l’Europa League pour pouvoir les vivre devant des tribunes garnies et surchauffées. 

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