Interview Le Beerschot s'est inspiré du KVO et du Cercle pour choisir son nouvel entraîneur

Walter Forbes
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Le Beerschot s'est inspiré du KVO et du Cercle pour choisir son nouvel entraîneur
Photo: © photonews

Andreas Wieland, le nouvel entraîneur du Beerschot est Autrichien. Des techniciens belges ont également été suivis par les Rats, mais ils n'ont pas été retenus.

Sander Van Praet et Frédéric Van den Steen expliquent comment le Beerschot est arrivé à ce choix. "Ces dernières semaines, nous avons pris le temps de regarder les choses et de les analyser afin de dresser un profil clair et de déterminer les critères auxquels l'entraîneur doit répondre. Ce fut un processus relativement long, mais structuré et efficace", a déclaré le directeur technique Van Praet.

Combinaison spéciale

Le directeur général Van den Steen donne des précisions. "L'ADN du Beerschot comprend l'expression 'du sang sur les poteaux' et, d'autre part, l'adoration d'artistes comme Rik Coppens, Losada et Holzhauser. Cette combinaison est très spéciale. La saison dernière, nous avons été impressionnés par la force d'équipes comme le KV Ostende et le Cercle de Bruges."

Le Cercle en particulier a impressionné par son pressing élevé. "Ensuite, vous commencez à penser : qui est derrière tout ça ? Petit à petit, vous approfondissez vos recherches et vous arrivez à certains profils. C'est comme ça qu'on s'est retrouvé avec Andreas. Il poursuivra cette vision. Le public attendra cela et avec la commission technique, nous voulons apporter ce genre de football."

Van den Steen est conscient que le chemin à parcourir est encore long. "Nous pouvons vous dire beaucoup de choses, mais ce n'est que la théorie. C'est là que tout commence, avec une idée. Nous voulons mettre cela en place. La clé de tout cela est qu'Andreas est entré dans notre histoire."

Le succès peut également être atteint en D1B avec le football que défend le nouvel entraîneur. "L'une des raisons pour lesquelles nous l'avons choisi est qu'il jouera le même football en toute circonstance", explique Van Praet. "Que nous soyons actifs au premier ou au second niveau."

La nationalité n'est pas un critère

Le choix ne s'est pas porté sur un Belge ou un entraîneur qui connaissait déjà le football professionnel belge. "Dans le cadre de notre profil, nous avons certainement examiné les profils belges. Nous avons suivi un processus. Si quelqu'un de nationalité autrichienne est le plus apte, cette nationalité ne doit pas être le critère qui va peser."

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