"Tu as les fesses qui font bravo" : l'anecdote marquante sur le premier contrat d'Axel Witsel au Standard

"Tu as les fesses qui font bravo" : l'anecdote marquante sur le premier contrat d'Axel Witsel au Standard
Photo: © photonews
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L'été prochain, cela fera 20 ans qu'Axel Witsel est passé professionnel au Standard. Son père Thierry s'en souvient comme si c'était hier.

Si Axel Witsel est aujourd'hui synonyme d'expérience et de maîtrise à tous les niveaux, il a lui aussi été ce jeune talent impatient de faire ses débuts en équipe première. De passage dans l'émission En Off, Thierry Witsel se souvient d'un autre grand moment, celui du premier contrat professionnel signé par son fils.

"Au Standard, quand on arrive dans ce fameux bureau de Lucien D'Onofrio, il faut négocier avec les plus grands dirigeants de Belgique, trouver un terrain d'entente. Quand tu arrives là, tu es pétrifié, tu as les fesses qui font bravo", rigole-t-il.

Une légère crispation rapidement dissipée : "Directement, ils te mettent à l'aise, tu discutes". Le Standard a un plan très clair pour Witsel : " 'C'est le début, il commence seulement, il aura encore tout le temps après pour se faire de l'argent', qu'ils me disaient", se souvient le paternel.

Faire ses preuves avant tout

Le premier contrat d'Axel Witsel à Sclessin n'a donc rien à voir avec ce qu'il connaîtra des années plus tard en Russie ou en Chine : "C'est finalement ce qu'on a fait. Parce qu'on était des parents avec la tête sur les épaules, conscients qu'il ne fallait pas aller trop vite trop tôt".

Une expérience marquante pour Thierry Witsel : "Le fait que j'avais le coeur qui battait qui pompait, que je paniquais, je ne l'ai pas montré, à personne. Tout était intériorisé".

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