Bölöni: "Wasyl se croyait tout permis sur un terrain, il méritait une baffe"

Bölöni: "Wasyl se croyait tout permis sur un terrain, il méritait une baffe"
Photo: © photonews

Marcin Wasilewski n'était pas très apprécié de ses adversaires et ce n'était pas plus le cas avec Laszlö Bölöni, coach du Standard à l'époque.

Laszlö Bölöni a connu une époque où la rivalité entre le Standard et Anderlecht était autrement plus chaude qu'aujourd'hui. Une époque qui a notamment culminé avec l'accident entre Marcin Wasilewski et Axel Witsel, le Rouche brisant la jambe du Mauve. "Wasilewski, c'était le profil du joueur adverse que je détestais; ça arrive quand les joueurs adverses m'emmerdent par leurs qualités!", souligne-t-il dans le Sport-Foot Magazine. 

Wasilewski marchait sur des cadavres

"C'est aujourd'hui le cas avec Malinovskyi de Genk, quand on joue contre lui, je me dis: "Qu'est-ce que je le déteste, lui!", continue Bölöni. Mais "Wasyl" avait une particularité: "Lui, c'est parce qu'il était agressif. Tu as besoin de joueurs pareils, mais lui méritait une baffe! Il marchait sur des cadavres. Et comme il jouait à Anderlecht, il se croyait tout permis", détaille l'ex-coach des Rouches. 

Les salopards

Jusqu'au jour où... "Il avait l'habitude que tout le monde se retire. Axel Witsel ne s'est pas retiré", résume Bölöni. "S'il y avait trop de tension? Nous avons tous joué avec ça. Moi aussi, avec cette phrase qu'on m'a reproché: je voulais des salopards sur le terrain. Je le disais dans le bon sens du terme. Si je peux retrouver des salopards à l'Antwerp comme au Standard, je signe", insiste le Roumain. "Mais je ne sens pas encore ça". 

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