Vivement critiqué au Brésil, John Textor s'attaque... à 777 Partners : "Nous sommes bons, pas comme eux"
Photo: © photonews
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John Textor a démenti les rumeurs d'un départ de Botafogo, le club brésilien où il n'est plus en odeur de sainteté... comme partout où il est passé. L'Américain a comparé la situation d'Eagle Football Group à celle de 777 Partners, l'ancien propriétaire du Standard et de Vasco de Gama.
Chaque fois que John Textor devient propriétaire d’un club, les problèmes éclatent. Ce fut le cas à l’Olympique Lyonnais, au RWDM Brussels, et plus récemment à Botafogo, où les supporters réclament son départ au plus vite.
Cette semaine, des rumeurs ont circulé, affirmant qu’il serait poussé vers la sortie au Brésil en raison de conflits avec la branche sociale du club, présidée par Joao Paulo Magalhaes Lins, qui détient 10 % des parts de Botafogo et qui aurait décidé de se débarrasser de l’Américain en concertation avec d’autres membres d’Eagle Football Group.
John Textor écarte les rumeurs et compare Eagle... à 777 Partners
Interrogé par le média sportif brésilien Globo Esporte, John Textor a cependant démenti ces rumeurs. "C’est une information qui ne repose sur rien. Il est impossible d’organiser une telle réunion sans ma participation. Il y aura bientôt des changements au sein du groupe Eagle, mais je resterai. J’ai dit que je mourrai à Botafogo, et je compte bien mourir à Botafogo", a-t-il assuré.
Pour répondre aux critiques, John Textor a comparé la situation d’Eagle Football Group à celle de 777 Partners, l’ancien propriétaire du Standard et de Vasco de Gama, un autre club brésilien. "Nous ne sommes pas 777 Partners. Nous avons de bons actionnaires et une bonne direction. Aucun changement majeur n’est nécessaire. Nous sommes de meilleurs gestionnaires que 777."
Les supporters de Botafogo ne partagent cependant pas cet avis, comme en témoignent les banderoles le qualifiant de "clown" ou "d’escroc" déployées dans le stade. Le club brésilien occupe la quatrième place de son championnat, mais John Textor n’y est plus en odeur de sainteté… comme partout où il est passé.
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