Le transfert tchic et tchac de Janczyk contesté!
Photo: © SC
Le GBA a fait signer Janczyk, l'attaquant de Lokeren qui appartenait au CSKA. Le contrat de location courait jusqu'au 31 décembre 2009. Mais à l'Union Belge, le joueur était affilié à Lokeren jusqu'au 30 juin 2010. Bataille juridique en perspective.
Le monde du football, c'est pas la Petite Maison dans la Prairie. Derrière les sourires de façade et les invocations au fair-play à la Tartuffe se cache un univers de coups bas, de croche-pieds et de tackles financiers qui ramènent par exemple en comparaison le fameux geste d'Alex Witsel à une bagatelle, à une perte d'équilibre un rien trop surjouée.
C'est que la Jupiler League tient aujourd'hui des Dix petits nègres d'Agatha Christie. A la Ligue Pro, on se salue de la main droite et on tient un poignard dans la main gauche.
Lokeren avait un accord de location du joueur avec le CSKA Moscou. Cet accord devait en principe être reconduit à la fin décembre entre les deux clubs. Mais entretemps, le Beerschot a eu vent de cette brèche dans la situation contractuelle et a décidé d'entrer dans la danse, en l'occurence un kazatchok interprété par un orchestre de faux-culs. Car, pour l'occasion, l'objectif du Beerschot qui aligne un secteur offensif déjà performant est surtout d'affaiblir les voisins anversois, voire de les rayer du paysage de la D1.
Le président de Lokeren, monsieur Lambrecht, a confié l'affaire à ses avocats.
Ceci dit, St-Trond, après l'affaire Jérémy Perbet, doit bien rire dans sa barbe avec cette histoire de l'arroseur arrosé.
C'est que la Jupiler League tient aujourd'hui des Dix petits nègres d'Agatha Christie. A la Ligue Pro, on se salue de la main droite et on tient un poignard dans la main gauche.
Lokeren avait un accord de location du joueur avec le CSKA Moscou. Cet accord devait en principe être reconduit à la fin décembre entre les deux clubs. Mais entretemps, le Beerschot a eu vent de cette brèche dans la situation contractuelle et a décidé d'entrer dans la danse, en l'occurence un kazatchok interprété par un orchestre de faux-culs. Car, pour l'occasion, l'objectif du Beerschot qui aligne un secteur offensif déjà performant est surtout d'affaiblir les voisins anversois, voire de les rayer du paysage de la D1.
Le président de Lokeren, monsieur Lambrecht, a confié l'affaire à ses avocats.
Ceci dit, St-Trond, après l'affaire Jérémy Perbet, doit bien rire dans sa barbe avec cette histoire de l'arroseur arrosé.
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