Bayat crache dans la soupe anderlechtoise
Photo: © SC
Le Sporting de Charleroi retrouve le sourire. Et Abbas Bayat sa verve qui frise l'insolence. La bonne entente avec Anderlecht semble appartenir définitivement au passé. Car le président des Zèbres s'est déchainé devant les caméras de la VRT.
Abbas Bayat. On aime pas. Ou on aime pas. L'homme ne laisse pas indifférent. Blessé, houspillé, vexé de longs mois durant par les échecs successifs du Sporting de Charleroi, l'homme d'affaires iranien s'est tanné l'épiderme pour mieux repartir à l'attaque.
Et il frappe dans tous les sens. Sur la Pro League, les arbitres, Jacky Mathijssen et surtout sur le Sporting d'Anderlecht.
Extraits :
"Contre l'Ajax, la défaite d'Anderlecht fut amplement méritée. Monsieur Vanden Stock pense peut-être que Wasilewski n'aurait pas raté son penalty si nous avions eu un championnat à 12 ou à 14. Peut-être qu'il en est là. Mais cela n'a rien à voir. La défaite était indiscutable"
"Anderlecht dispose du plus gros budget de Belgique. Si avec ça ils sont incapables de former une équipe, c'est leur problème".
Et il frappe dans tous les sens. Sur la Pro League, les arbitres, Jacky Mathijssen et surtout sur le Sporting d'Anderlecht.
Extraits :
"Contre l'Ajax, la défaite d'Anderlecht fut amplement méritée. Monsieur Vanden Stock pense peut-être que Wasilewski n'aurait pas raté son penalty si nous avions eu un championnat à 12 ou à 14. Peut-être qu'il en est là. Mais cela n'a rien à voir. La défaite était indiscutable"
"Anderlecht dispose du plus gros budget de Belgique. Si avec ça ils sont incapables de former une équipe, c'est leur problème".
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