La colère de Genk après le match contre Anderlecht ne concerne pas que le penalty : d'autres éléments reprochés à l'arbitrage

La colère de Genk après le match contre Anderlecht ne concerne pas que le penalty : d'autres éléments reprochés à l'arbitrage
Photo: © photonews

Si la phase du penalty a fait beaucoup parler, elle n'est pas la seule raison de la colère du Racing Genk après le match à Anderlecht. D'autres éléments sont également reprochés à l'arbitrage.

Le Racing Genk a perdu gros au Lotto Park. Trois points, premièrement, mais aussi Wouter Vrancken et Joseph Paintsil, exclus, ainsi que Daniel Munoz, qui a reçu son cinquième avertissement et qui sera également suspendu contre l'Antwerp. 

Cette phase, avec Munoz, énerve particulièrement les Limbourgeois. Car, une nouvelle fois, Thomas Delaney avait commis une faute de main. "Ils ont préféré siffler une faute inexistante de Munoz, qui a aussi reçu une carte jaune" pestait Wouter Vrancken à l'issue de la rencontre. 

Et puis cette phase, sur le deuxième but, où Paintsil serait d'abord retenu par Ashimeru. "Cela n'a même pas été examiné, n'est-ce pas étrange ?", a conclu Wouter Vrancken. Cet accrochage aurait bien été vérifié, mais le VAR a estimé qu'il n'y avait pas de faute sur cette action. 

Il n'y a donc pas que le penalty qui met en colère les Limbourgeois. Une chose est sûre, on n'a pas encore fini d'entendre parler de ce match...

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