Arlon au bord du gouffre

"Je n’étais pas habitué à un rôle si négatif. Le bilan chiffré est décevant mais il n’y a pas matière à paniquer. On a perdu tout l’effectif en été et il a fallu recruter à la sauvette. Certains transferts ont le niveau, d’autres moins. À onze joueurs, on n’arrive pas à assurer le maintien, bien à quinze ou seize", explique le président d'Arlon Yves Lemaire dans les pages de La Dernière Heure.

"La situation n’est pas désespérée mais… presque. Il y a un seul descendant, ce qui est notre chance. Je me dois de croire aux miracles." Du coup, on évoque aussi le mot 'mercato'. "Il y en aura probablement un. Un joueur s’est singularisé, ce qui n’est pas nouveau dans son chef. Johny Amadei peut partir. Jusqu’à preuve du contraire, c’est le seul départ.