"Avant, le coach était le patron, aujourd'hui c'est le bouc-émissaire"

"Avant, le coach était le patron, aujourd'hui c'est le bouc-émissaire"

La rencontre de ce week-end entre le KV Malines et le KV Courtrai va peut-être sceller le sort de Yannis Anastasiou. Le Grec regrette la pression mise sur les épaules des coachs de nos jours.

"Ca va être la guerre, mais nous serons prêts", affirme Yannis Anastasiou au sujet du "match de la peur" entre les deux KV, Malines et Courtrai, qui a lieu ce week-end. Une rencontre entre deux équipes malades et qui pourrait déterminer l'avenir du coach grec à la tête de Courtrai.

Le bouc-émissaire

"Avant, le coach avait plus de pouvoir, il était le patron", rappelle Anastasiou dans des propos relayés par Het Nieuwsblad. "Il décidait de tout, y compris des transferts. Aujourd'hui, chaque club a des scouts, un directeur technique ... et le coach n'est plus que le bouc-émissaire quand les choses vont mal", regrette-t-il. "Cette pression n'est pas bonne, pas saine. Un entraîneur doit se concentrer sur son travail sans devoir penser à tout ça. Mais ce n'est pas différent en Belgique par rapport à la Grèce et les Pays-Bas".

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