Une photo pour les livres d'histoire : le bourreau d'Anderlecht explique sa célébration virale et...rend hommage à sa victime

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Photo: © photonews

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Romeo Vermant a vécu une soirée magique contre Anderlecht. Il n'était pas encore descendu de son nuage à l'interview.

Réussir à Bruges en étant le fils de Sven Vermant n'a pas été une sinécure pour Romeo Vermant, qui entend inlassablement le nom de son père revenir dans les discussions. Alors le jeune attaquant a choisi (en plus de ses bonnes prestations en Playoffs), un match qui était fait pour rester dans les esprits et une célébration marquante pour écrire sa propre histoire.

Son doublé a porté le Club de Bruges vers sa première Coupe de Belgique depuis onze ans : " Waouh ! Je n'aurais jamais osé imaginer le mois dernier que je serais titulaire, puis que je marquerais un doublé et gagnerais. C'est indescriptible", explique-t-il au micro de VTM.

Avec ses coéquipiers Tzolis et Jashari, il s'est installé sur des chaises en plastique devant le noyau dur du Club - une action spontanée devenue instantanément une image emblématique. "J'avais déjà dit à Tzolis avant le match : si je marque, on va vers les supporters et on prend ces chaises. Oui, le reste appartient à l'histoire", rigole-t-il.

Troisième choix en attaque en début de saison, il mesure le chemin parcouru : "Il y a dix ans, j'étais encore un enfant dans les tribunes", explique-t-il, avec une pointe d'émotion. "Et maintenant je marque deux fois en finale contre Anderlecht... C'est tout simplement irréel."

L'attaquant que se cherchait le Club ?

Le deuxième but est un modèle du genre : Vermant anticipe le centre au premier poteau et devance le marquage de Jan-Carlo Simic : "Je savais que quand Christos (Tzolis) allait amener le ballon, je devais juste le bon moment. C'était un but d'attaquant".

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Malgré l'euphorie, l'attaquant de 21 ans veut donner du crédit à Anderlecht : "C'était un bon match, c'est un Anderlecht différent de celui du début des Playoffs, donc il fallait jouer différemment pour l'emporter aujourd'hui".

Et maintenant ? Quid de la fête ? " Je vais certainement beaucoup danser, j'adore ça, mais pas d'alcool, car la semaine prochaine, on doit recommencer. Ce soir, je vais me détendre les jambes", rigole-t-il.

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