"L'Antwerp me manque" : Senne Lammens souligne la grande différence entre la Pro League et la Premier League

"L'Antwerp me manque" : Senne Lammens souligne la grande différence entre la Pro League et la Premier League
Photo: © photonews

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Senne Lammens est rapidement devenu le numéro un dans les buts de Manchester United. Le jeune gardien, qui a rejoint la Premier League cet été en provenance de l'Antwerp, a déjà impressionné en Angleterre. Pourtant, son cœur reste en partie en Belgique, plus précisément au Bosuil.

"Old Trafford, c’est au moins trois fois le Bosuil", répond Senne Lammens avec un sourire dans un entretien accordé à Sporza. "Mais grâce au Bosuil, j’ai pu m’habituer à l’ambiance ici. Ce stade, ce public… ça m’a préparé à ce que je vis maintenant. J’espère vraiment que tout ira bien pour l'Antwerp, car ça fait mal de les voir ainsi."

Le portier de 23 ans suit encore de près son ancien club. "Mes coéquipiers, le staff, la ville me manquent. J’y ai vécu deux ans et demi et j’y ai vraiment construit ma vie. L'Antwerp m’a façonné, en tant que joueur mais aussi en tant qu’homme. Je n’oublierai jamais ça."

Une partie du cœur de Senne Lammens est restée au Bosuil

Son départ vers la Premier League l'a forcé à revoir un peu son style de jeu. "La plus grande différence ? Les phases arrêtées", assure-t-il. "En Premier League, c’est parfois la guerre dans le petit rectangle. On pousse, on tire, on bloque — et les arbitres laissent souvent jouer. Il faut s’y adapter, mais pour chaque gardien, c’est compliqué."

Avec l’équipe nationale, Lammens continue d’apprendre auprès des meilleurs. "J’apprends beaucoup de Thibaut Courtois et Matz Sels. Leur expérience en Premier League m’aide énormément. Mais je pense aussi qu’il faut le vivre soi-même. J’essaie surtout de suivre mon propre chemin."

Lire aussi… Pourquoi Senne Lammens répète le même rituel avant chaque matchCe chemin l’amène maintenant au plus haut niveau, où même la légende du club Peter Schmeichel l’a déjà tapoté sur l’épaule. "Il m’a dit de rester moi-même. C’est ce que j’essaie de faire", conclut Lammens. "Mais une chose est sûre : je n’oublierai jamais le Bosuil."

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