Interview Vandiepenbeeck: "Si on ne gagne pas contre Coxyde, on peut faire nos valises et retourner en division 3"

Après nous avoir parlé du malaise actuel de l'Union et de son premier tour personnel difficile, Vincent Vandiepenbeeck a ensuite évoqué le match entre l'Union Saint-Gilloise et Coxyde, dimanche à 15h. Une rencontre primordiale pour les Bruxellois s'ils veulent rester dans les huit premiers de Proximus League et accéder à la future D1B.

"C’est un match capital, comme les autres rencontres qu’il nous reste à jouer. Celui-ci un peu plus pour plusieurs raisons. Premièrement, on est sur une mauvaise série et ça peut nous permettre de sortir du trou, deuxièmement on joue à la maison et troisièmement c’est quand même un des derniers du championnat. Si on n'arrive pas à gagner contre une équipe comme ça, il ne faudra pas espérer être dans les huit."

Vincent rappelle que l'Union doit encore jouer le Cercle et l'Antwerp d'ici la fin de saison, soit deux gros morceaux. Avant de se répéter avec des mots encore plus dures: "Si on ne gagne pas contre Coxyde, on peut faire nos valises et retourner en division 3" a-t-il affirmé.

Ce match peut nous donner un nouvel envol

Le défenseur unioniste est déterminé pour ce dimanche. "Tous les points qu’on peut prendre, il faut les prendre. Ce match contre Coxyde peut nous permettre de prendre un nouvel envol pour le reste du championnat. Ca peut redonner confiance à tout le monde."

Pour lui, gagner ce genre de match est primordial pour faire parmi de l'élite. "Les trois points qu’on va prendre ce week-end, on ne pourra pas nous les voler. Chaque point gagné sera une petite avance sur nos poursuivants. Et à la fin du championnat, grâce à ces petits points, on espère rester dans les huit."

La clé pour la fin de saison de l'USG ? "Ne pas perdre confiance, marquer et ne plus encaisser des bêtes buts comme ca été le cas ces dernières semaines" a conlu le capitaine unioniste.

Et le nouvel attaquant ?

En début de semaine, l'Union a engagé un nouvel attaquant en la personne de Lynel Kitambala. Vincent n'est pas passé par quatre chemins. "Franchement, je ne le connais absolument pas. Je l'ai vu à l'entrainement il a l'air d'avoir de la qualité mais je ne préfère pas trop parler de lui. Je connais à peine son nom, je ne sais pas d'où il vient..."