Daan Heymans revient sur son départ de Charleroi pour Genk : "Ils jouent en Europe, c'est une opportunité"

Daan Heymans revient sur son départ de Charleroi pour Genk : "Ils jouent en Europe, c'est une opportunité"
Photo: © photonews

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Daan Heymans a franchi un cap dans sa carrière en signant à Genk. S'il sait qu'être titulaire sera difficile, l'ancien de Charleroi mise sur l'Europe pour se montrer et engranger du temps de jeu.

Daan Heymans a récemment franchi une nouvelle étape dans sa carrière en rejoignant le Racing Genk. Après s’être imposé comme l’un des cadres du Sporting de Charleroi, le milieu de terrain belge de 26 ans s’offre une belle progression avec ce transfert chez les Limbourgeois. Une juste récompense pour ses prestations solides en Pro League.

Chez les Bleu et Blanc, la concurrence sera rude dans l’entrejeu, notamment avec des joueurs comme Konstantinos Karetsas ou Patrik Hrosovsky, qui évoluent à des postes similaires. Mais Heymans garde la tête froide et voit un atout majeur à son arrivée : l'Europe.

Je sais que je ne suis pas recruté comme titulaire incontesté, mais Genk joue l'Europe"

“C’est la principale raison de ma venue ici”, confie-t-il à Het Belang van Limburg. “Je savais que je ne serais pas recruté comme un titulaire incontesté, mais Genk joue aussi en Europe, et c’est une vraie opportunité.”

Daan Heymans sait que s'imposer sera difficile

Conscient du défi, Heymans se montre lucide : “Je sais que j’aurai du temps de jeu, et à moi de répondre présent à ces moments-là. Si je suis bon, le coach me laissera sur le terrain. Sinon, je retournerai sur le banc. Je suis assez réaliste pour l’accepter.”

Pour Daan Heymans, ce transfert s’inscrit dans un projet mûrement réfléchi. “Mon objectif était clair : soit franchir un palier en Belgique, soit signer dans un bon club à l’étranger. Mais je savais qu’un top club ne viendrait pas de l’un des cinq grands championnats européens.”

Il ne voulait pas non plus revivre un contexte difficile à l’étranger, comme il l’avait connu plus tôt dans sa carrière à Venezia. “Si j’étais parti hors de Belgique, j’aurais sans doute encore atterri dans un club qui lutte pour le maintien. Et ça, j’en ai assez", a-t-il conclu.

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