La seule chose qui a changé, c'est qu'Eric Gerets est libre"

Le Standard a raté le coche la semaine passée au Beerschot. En cas de victoire, les Rouches se seraient nichés à la seconde place du classement. Au lieu de cela, les Liégeois donnent l'impression de patiner et d'aller au devant d'une nouvelle saison décevante. 

Pour Ron Jans, il n'y a cependant pas de raison de se mettre une inutile pression. Mi-humoristique, mi philosophe, l'entraineur du Standard joue la carte de la sérénité dans les pages de Sudpresse. "Je ne ressens aucune pression sur ma personne. La seule chose qui a changé, c’est qu’Eric Gerets est libre, c’est tout. En cas de victoire au Kiel, nous aurions été deuxièmes. Vous pouvez mettre la pression sur le coach, c’est votre boulot (rires). Nous ne jouons pas un mauvais football. C’est encore trop tôt pour s’inquiéter. De toute façon, je ne suis pas en train de penser à ce qui pourrait se passer si ça tourne mal. Celui a cette vision des choses ne doit pas commencer le métier d’entraîneur ".