Vercauteren : "Je ne pars pas pour l'argent"!
Photo: © SC
Franky Vercauteren a rencontré la presse pour donner quelques explications sur sa situation actuelle. Il coachera encore Genk contre Zulte-Waregem et lors du match aller contre le Maccabi Haifa.
Franky Vercauteren a rencontré la presse pour s'expliquer. S'il a laissé planer certaines zones d'ombre, il a également tordu le cou à de nombreux on-dit. "Je ne parlerai pas des raisons qui m'ont poussé à quitter Genk, a déclaré le futur entraineur d'Al Jazira. Mais ce qui me dérange, c'est que tout le monde croit que c'est pour l'argent. Or, ce n'est pas le cas".
Et de poursuivre : "La presse a publié pas mal de choses fausses ces derniers jours. Un jour, je rétablirai la vérité. Mais pour le moment, je veux me concentrer sur les deux prochains matches : celui contre Zulte-Waregem et celui contre le Maccabi Haifa".
Par ailleurs, Franky Vercauteren relativise le lien qui l'unissait avec son groupe. Sans langue de bois, sans cette hypocrisie trop fréquente dans le monde du foot actuel, il a évoqué de sa relation avec ses joueurs : "Certains joueurs seront contents que je parte. Un tiers du groupe s'en fout. Un tiers regrette mon départ et un dernier tiers est content que je parte".
Quant au timing plutôt maladroit de l'annonce de son départ, l'entraineur des champions de Belgique le regrette, mais en rejette la responsabilité sur la presse. "Un autre scénario avait été prévu. Mais il n'a pu se réaliser. En partie à cause de la presse qui n'a pas été très correcte dans ses infos".
Et de poursuivre : "La presse a publié pas mal de choses fausses ces derniers jours. Un jour, je rétablirai la vérité. Mais pour le moment, je veux me concentrer sur les deux prochains matches : celui contre Zulte-Waregem et celui contre le Maccabi Haifa".
Par ailleurs, Franky Vercauteren relativise le lien qui l'unissait avec son groupe. Sans langue de bois, sans cette hypocrisie trop fréquente dans le monde du foot actuel, il a évoqué de sa relation avec ses joueurs : "Certains joueurs seront contents que je parte. Un tiers du groupe s'en fout. Un tiers regrette mon départ et un dernier tiers est content que je parte".
Quant au timing plutôt maladroit de l'annonce de son départ, l'entraineur des champions de Belgique le regrette, mais en rejette la responsabilité sur la presse. "Un autre scénario avait été prévu. Mais il n'a pu se réaliser. En partie à cause de la presse qui n'a pas été très correcte dans ses infos".
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